Marillac-le-Franc

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Marillac-le-Franc
Marillac-le-Franc
Vue de Marillac depuis l'est.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Angoulême
Intercommunalité Communauté de communes La Rochefoucauld - Porte du Périgord
Maire
Mandat
Pierre Bardoulat
2020-2026
Code postal 16110
Code commune 16209
Démographie
Gentilé Marillacois
Population
municipale
823 hab. (2021 en diminution de 0,24 % par rapport à 2015)
Densité 57 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 44′ 10″ nord, 0° 25′ 50″ est
Altitude Min. 84 m
Max. 203 m
Superficie 14,49 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Angoulême
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Val de Tardoire
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Marillac-le-Franc
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Marillac-le-Franc

Marillac-le-Franc (Marilhac en limousin, dialecte occitan) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Ses habitants sont les Marillacois et les Marillacoises[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation et accès[modifier | modifier le code]

Marillac-le-Franc est située à 2 km à l'est de La Rochefoucauld et à 25 km à l'est d'Angoulême.

La D 13, route de La Rochefoucauld à Rochechouart par l'Arbre, passe au nord du bourg, qui est desservi par la D 395 qui va à La Rochefoucauld et la D 392, perpendiculaire, qui va de Taponnat à Saint-Sornin[2].

La gare la plus proche est celle de La Rochefoucauld, desservie par des TER à destination d'Angoulême et de Limoges.

Hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

Le bourg de Marillac n'est pas très grand, et la commune comprend quelques gros hameaux : Limarceau, Chez le Meunier, Puybrunet, la Vallade, etc.

La proximité de La Rochefoucauld a aussi entraîné la construction de quelques maisons et lotissements, en particulier à la Gassouille[2].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La commune est sur le karst de La Rochefoucauld, ce qui se traduit par la présence de nombreux gouffres et avens.

Il s'agit d'un vaste plateau calcaire incliné vers l'ouest, premiers sédiments du Bassin aquitain, creusé par des petites vallées descendant du Massif de l'Arbre, premier mont du Massif central qui commence quelques kilomètres à l'est. Le sol est principalement composé de coulées d'origine tertiaire, altérite, argile rouge et sableuse à silex, calcaire du Jurassique inférieur, sauf dans les vallées (dépôt alluvionnaire)[3],[4],[5]. Ces vallées sont en conséquence plus creusées à l'est de la commune.

Le point culminant de la commune est à une altitude de 203 m, situé sur la limite sud-est. Le point le plus bas est à 84 m, situé le long de la Ligonne sur la limite ouest. Le bourg est à 110 m d'altitude[2].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[6]. Elle est drainée par la Ligonne et la Margot et par un petit cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 7 km de longueur totale[7],[Carte 1].

Les ruisseaux s'enfoncent dans les gouffres avant d'atteindre leur confluence dans la Tardoire, en particulier la Ligonne qui passe au bourg, et qui a formé l'aven de Marillac[8].

La Ligonne reçoit aussi la Margot, qui passe à Yvrac et à Beaumont, et se jette au pied du bourg qu'il n'atteint qu'en hiver[2].

Gestion des eaux[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[9]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [10].

Climat[modifier | modifier le code]

Le climat est océanique aquitain comme les trois quarts sud-ouest de la Charente. La commune est plus arrosée à l'est où le relief est plus élevé.

Végétation[modifier | modifier le code]

La commune est en partie boisée, principalement à l'est où l'on trouve la Forêt de Marillac. Les champs donnent lieu principalement à de la culture.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Marillac-le-Franc est une commune rurale[Note 1],[11]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angoulême, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 95 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (66 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (71,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (29,9 %), forêts (29,5 %), zones agricoles hétérogènes (28,9 %), prairies (7,2 %), zones urbanisées (4,5 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Marillac-le-Franc est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[17]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[18].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Marillac-le-Franc.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines)[19]. Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[20].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 99,4 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 381 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 376 sont en aléa moyen ou fort, soit 99 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[21],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[20].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1999 et 2009. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003 et par des mouvements de terrain en 1999[17].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[22].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Les formes anciennes sont Mareslaco en 1060, Marilhaco en 1324[23], Marilaco, Marlhaco, Marlhac au XIIIe siècle[24].

L'origine du nom de Marillac remonterait à un nom de personne gallo-romain Marillius auquel est apposé le suffixe -acum, ce qui correspondrait à Marilliacum, « domaine de Marillius »[25].

Créée en 1793 Marillac, la commune ne s'est appelée Marillac-le-Franc qu'en 1969[26], par la demande du maire de l'époque, André Rambaud, concrétisant ainsi un usage déjà ancien de la population. En effet, le nom Marillac-le-Franc était déjà employé en 1817[27]. Une tradition locale ferait remonter à Charlemagne ce nom, car il aurait accordé des franchises en Angoumois, pour remercier les défenseurs de la chrétienté. Il est plus probable, selon des études récentes, qu'il y ait bien eu une franchise, mais au XIVe siècle, accordée au seigneur de Marillac, Aubert Tison, afin de vendre ses céréales à La Rochefoucauld[28].

Langues[modifier | modifier le code]

La commune est dans la partie occitane de la Charente qui en occupe le tiers oriental, et le dialecte est limousin[29]. Elle se nomme Marilhac en occitan[30].

Histoire[modifier | modifier le code]

Au bourg, le logis du XVIIe siècle devait remplacer l'ancien château féodal qui était le siège d'un fief assez important dépendant de la baronnie de Montbron. Dans les premières années du XVIIe siècle, ce fief appartenait à Simon Chaigneau, procureur et juge-assesseur à Marthon.

Les registres de l'état civil remontent à 1626, mais sont incomplets[31].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

La mairie.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1981 ? André Rambaud DVG  
1983 2008 Jean-Pierre Chamoulaud DVG  
2008 En cours Pierre Bardoulat SE Artisan

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Dans son palmarès 2023, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué deux fleurs à la commune[32].

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[34].

En 2021, la commune comptait 823 habitants[Note 3], en diminution de 0,24 % par rapport à 2015 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
732796726691797796815796788
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
800755684704730732692655663
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
702676601555549571565600594
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2021
521599574626617689796819823
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 27,3 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 30,9 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 412 hommes pour 412 femmes, soit un taux de 50 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,59 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[36]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,0 
9,4 
75-89 ans
11,3 
19,7 
60-74 ans
19,9 
20,3 
45-59 ans
21,5 
21,6 
30-44 ans
20,2 
9,0 
15-29 ans
9,2 
19,5 
0-14 ans
16,9 
Pyramide des âges du département de la Charente en 2020 en pourcentage[37]
HommesClasse d’âgeFemmes
90 ou +
2,6 
75-89 ans
11,8 
20,3 
60-74 ans
20,9 
20,9 
45-59 ans
20,5 
16,8 
30-44 ans
16,1 
15,6 
15-29 ans
13,6 
16,4 
0-14 ans
14,5 

Remarques[modifier | modifier le code]

La population est en hausse légère mais constante de par la proximité des zones d'emplois de La Rochefoucauld et Angoulême.

Économie[modifier | modifier le code]

Équipements, services et vie locale[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

L'école est un regroupement pédagogique intercommunal entre Marillac et Yvrac-et-Malleyrand. Marillac accueille l'école élémentaire qui comporte deux classes, et Yvrac l'école primaire. Le secteur du collège est La Rochefoucauld[38].

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

L'église paroissiale Saint-Didier date du XIIe siècle, en remplacement d'une église construite au XIe siècle. Son plan est en croix latine, avec une nef unique percée de trois baies en plein cintre sur le mur latéral sud. La façade est percée d'un portail à trois voussures brisées et des chapiteaux ornés. Un berceau de bois couvre la nef qui semble ne jamais avoir été voûtée. L'abside semi-circulaire est aussi éclairée par trois baies en plein cintre. Les transepts ont été refait au XIXe siècle. La chaire en bois date aussi de ce siècle, et l'autel en marbre de Carrare a été acquis en 1900[39],[40]. L'église est inscrite aux monuments historiques depuis 1925[41].

Patrimoine civil[modifier | modifier le code]

Fontaine sculptée de la place de l'Église.

L'aven de Marillac est un gouffre situé sur la Ligonne. Peu impressionnant, il s'agit surtout d'un gisement préhistorique situé aux Pradelles, où hommes et animaux se sont fait piéger. Une fontaine a été érigée récemment sur la place de l'église avec une statue évoquant l'Homme de Marillac.

La commune possède aussi un intéressant patrimoine bâti, dont le logis de Croix de Bord de style périgordin, ou Chabrou[42].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Marillac-le-Franc » sur Géoportail (consulté le 21 juin 2022).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le ).
  2. a b c d et e Carte IGN sous Géoportail
  3. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
  4. Carte du BRGM sous Géoportail
  5. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de La Rochefoucauld », sur Infoterre, (consulté le ).
  6. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  7. « Fiche communale de Marillac-le-Franc », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le ).
  8. Sandre, « la Ligonne »
  9. « SAGE Charente », sur gesteau.fr (consulté le ).
  10. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Marillac-le-Franc », sur Géorisques (consulté le ).
  18. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  19. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  20. a et b « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Marillac-le-Franc », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  21. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  22. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  23. Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. II, Angoulême, imprimerie Roux et Despujols, , 588 p., p. 365
  24. Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 86,168,186,188,280
  25. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 436.
  26. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. A.F. Lecousturier, Dictionnaire des postes aux lettres du Royaume de France, imprimeur Valade, (lire en ligne), p. 210
  28. Sylvain Deschamps, « Doyenné Tardoire et Bandiat », (consulté le ).
  29. Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 55
  30. (oc) Jean Urroz, « Les noms des communes en Charente occitane », (consulté le ).
  31. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 233
  32. Les communes labellisées, Site des villes et villages fleuris, consulté le .
  33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  36. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Marillac-le-Franc (16209) », (consulté le ).
  37. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
  38. Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le ).
  39. Panneau explicatif à l'entrée
  40. Communauté de Communes Bandiat-Tardoire, « L'église de Marillac »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), (consulté le ).
  41. « L'église de Marillac », notice no PA00104412, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  42. Jean-Paul Gaillard, Châteaux, logis et demeures anciennes de la Charente, Paris, librairie Bruno Sepulchre, (réimpr. 2005), 893 p. (OCLC 908251975, présentation en ligne), p. 451-452

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]